Comme nous l'avons vu précedemment, le projet Lyon-Turin est un maillon essentiel des liaisons européennes Nord-Sud mais également Oues-Est. Il doit permettre des liaisons rapides des voyageurs et fret.
Du côté Français, le tracé des nouvelles voies et de tunnels préalpins a été difinitivement arrêté en 2006 et le financement des travaux et des études préliminaires de reconnaissance est assurée. Cependant, le financement global de l'ensemble du projet n'est pas entiérement couvert. Du côté Italien, certains habitants du Val de Suse et des associations écologistes protestent vivement contre la forte augmentation prévisible du trafic ferroviaire dans leur vallée et contre les dangers environnementaux découlant de la présence importante d'amiante naturelle dans certaines couches géologiques concernées par le creusement du tunnel, ce qui pose certains problèmes.
En effet au XXème siècle, nous faisons face à une nouvelle génération de liaisons alpines. La part inégale du chemin de fer et de la route selon les pays révèle des priorités différentes. La Suisse est la première à assumer sa préférence pour les voies ferrées et le ferroutage. D'après ce que l'on a vu précédemment il y a une prise de conscience des nuisance liées à la traversée alpine des poids lourds. On assiste alors à un renouveau pour l'intérêt pour les tunnels ferroviaires. Dans les Alpes orientales, outre le projet Lyon-Turin, deux autres projets sont en cours. Ceux-ci se situent en Suisse ( Le Lötschberg et le Gothard) qui sont à l'heure actuelle en travaux. Ces projets relèvent d'une nouvelle génération de tunnels plus long et situés à plus basse altitude de manière à réduire les impacts environnementaux. Le tunnel de Gothard avec un maximum de 550 mètres sera ainsi, à sa mise en service en 2012, l'itinéraire le plus bas pour traverser les Alpes et donc le plus attractif et concurentiel: plus de trois cent trains par jour, une capacité de transport de 49 millions de tonnes de marchandises et de 6.5 millions de passagers attendus, soit un tunnel comparable au projet Lyon-Turin
Du côté Français, le tracé des nouvelles voies et de tunnels préalpins a été difinitivement arrêté en 2006 et le financement des travaux et des études préliminaires de reconnaissance est assurée. Cependant, le financement global de l'ensemble du projet n'est pas entiérement couvert. Du côté Italien, certains habitants du Val de Suse et des associations écologistes protestent vivement contre la forte augmentation prévisible du trafic ferroviaire dans leur vallée et contre les dangers environnementaux découlant de la présence importante d'amiante naturelle dans certaines couches géologiques concernées par le creusement du tunnel, ce qui pose certains problèmes.
En effet au XXème siècle, nous faisons face à une nouvelle génération de liaisons alpines. La part inégale du chemin de fer et de la route selon les pays révèle des priorités différentes. La Suisse est la première à assumer sa préférence pour les voies ferrées et le ferroutage. D'après ce que l'on a vu précédemment il y a une prise de conscience des nuisance liées à la traversée alpine des poids lourds. On assiste alors à un renouveau pour l'intérêt pour les tunnels ferroviaires. Dans les Alpes orientales, outre le projet Lyon-Turin, deux autres projets sont en cours. Ceux-ci se situent en Suisse ( Le Lötschberg et le Gothard) qui sont à l'heure actuelle en travaux. Ces projets relèvent d'une nouvelle génération de tunnels plus long et situés à plus basse altitude de manière à réduire les impacts environnementaux. Le tunnel de Gothard avec un maximum de 550 mètres sera ainsi, à sa mise en service en 2012, l'itinéraire le plus bas pour traverser les Alpes et donc le plus attractif et concurentiel: plus de trois cent trains par jour, une capacité de transport de 49 millions de tonnes de marchandises et de 6.5 millions de passagers attendus, soit un tunnel comparable au projet Lyon-Turin
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